Adam Billaut est né à Nevers le 31 janvier 1602, il est menuisier puis poète et chansonnier français. Adam, dit Maître Adam « maître menuisier » est l'un des premiers poètes ouvriers.
Marié à Catherine Renard en 1630, il partageait son temps entre Paris (pensionné par Richelieu) ou il connut : Sieur de Saint-Amant (poète), Guillaume Colletet (poète et essayiste « auteur d'essais
littéraires »), Michel de Marolles (essayiste et généalogiste) et Nevers pour être avec son épouse.
Il partagea deux poèmes à Richelieu en 1663 puis en 1644, Adam écrivit « Les chevilles de Maître Adam » publié en livre de 400 pages et contient une « Approbation du Parnasse » : mouvement poétique apparu en France au XIX-ème siècle, plus d'une dizaine de poèmes d'autres poètes adresser à Billaut Adam.
Ces écrits sont souvent en rapport avec son premier métier de menuisier comme Les chevilles en 1644, il en parlait dans ses textes pour s'en moquer ou se donner un nom d'auteur.
Vers 1800, deux comédies, Maître Adam et le Menuisier de Nevers furent jouées en un acte avec
vaudevilles (comédie sans intentions psychologiques ni morales).
L'écrivain, Pierre de L'Étoile, disait d'Adam qu'il était un « poète naturel » ou un « poète par science infuse ». Pierre Corneille, auteur dramatique et poète français, lui consacra un sonnet (petit poème).
Une appréciation de Voltaire (poète et historien) a fait qu'Adam n'est pas oublié au 19 ème siècle et surtout, il intéressera les intellectuels ouvriers de 1830 à 1840.
A sa mort, le 18 mai 1662, son livre « le Vilebrequin » sera mis en valeur en 1663 de façon posthume
Le nom d'Adam Billaut fut donné à un des collèges de Nevers tout comme Victor Hugo (nom du
second collège.)
Quelques écrits d'Adam :
- Ode à Monseigneur le cardinal duc de Richelieu (1639),
- Les Chevilles (1644),
- Stances (1645),
- Ode pour Monseigneur le Prince (1648),
- Le Vilebrequin contenant toutes sortes de poésies, sonnets, lettres (épîtres) en 1663,
- Poésies (1842),
- Appendice aux poésies (1842).
Marié à Catherine Renard en 1630, il partageait son temps entre Paris (pensionné par Richelieu) ou il connut : Sieur de Saint-Amant (poète), Guillaume Colletet (poète et essayiste « auteur d'essais
littéraires »), Michel de Marolles (essayiste et généalogiste) et Nevers pour être avec son épouse.
Il partagea deux poèmes à Richelieu en 1663 puis en 1644, Adam écrivit « Les chevilles de Maître Adam » publié en livre de 400 pages et contient une « Approbation du Parnasse » : mouvement poétique apparu en France au XIX-ème siècle, plus d'une dizaine de poèmes d'autres poètes adresser à Billaut Adam.
Ces écrits sont souvent en rapport avec son premier métier de menuisier comme Les chevilles en 1644, il en parlait dans ses textes pour s'en moquer ou se donner un nom d'auteur.
Vers 1800, deux comédies, Maître Adam et le Menuisier de Nevers furent jouées en un acte avec
vaudevilles (comédie sans intentions psychologiques ni morales).
L'écrivain, Pierre de L'Étoile, disait d'Adam qu'il était un « poète naturel » ou un « poète par science infuse ». Pierre Corneille, auteur dramatique et poète français, lui consacra un sonnet (petit poème).
Une appréciation de Voltaire (poète et historien) a fait qu'Adam n'est pas oublié au 19 ème siècle et surtout, il intéressera les intellectuels ouvriers de 1830 à 1840.
A sa mort, le 18 mai 1662, son livre « le Vilebrequin » sera mis en valeur en 1663 de façon posthume
Le nom d'Adam Billaut fut donné à un des collèges de Nevers tout comme Victor Hugo (nom du
second collège.)
Quelques écrits d'Adam :
- Ode à Monseigneur le cardinal duc de Richelieu (1639),
- Les Chevilles (1644),
- Stances (1645),
- Ode pour Monseigneur le Prince (1648),
- Le Vilebrequin contenant toutes sortes de poésies, sonnets, lettres (épîtres) en 1663,
- Poésies (1842),
- Appendice aux poésies (1842).